La pêche au leurre

Un matin je me réveille 7H40. Je décide de tester mon nouveau leurre (un leurre de surface). J’arrive sur les lieux et j'aperçois quelque saut. Pendant 1H00 j'ai tenté d'apprendre à animer mon leurre.  Je commence à prendre le coup de main.  9H20 je lance mon leurre que j’anime donnant plusieurs coups de scion. Arriver à trois mètre du bord un PLOUFFF surgie et mon leurre disparu. Au début je croyais mettre accroché mais non sa tire dur. Je remonte mon premier black Bass de 33 cm. Tout fier je le prends en photos et Hope je le relâche avec délicatesse. Je rentre chez moi et je raconte mon  petite session de pêche à mon père. 

L'HISTOIRE D'UNE GRAINE

Je suis une carpe commune d'environ 8 KG. Je vie dans un petit étang très sympas. Je me trouvais sous un arbre qui  surplombait l'étang. Cet arbre était un lieu de nourriture assez fréquenté par plusieurs espèces de poissons. De cet arbre y tombais une multitude d'insectes. Mais un jour il y tomba plusieurs de nos graines préférer (maïs et noix tigrées). Notre repas sera servi tous les jours à 18h00 pendant une semaine. Mais lors du dernier jour de la semaine (un dimanche) quelque chose d'anormal allais se produire. Je me nourrissais, puis à un moment il y avait deux grains de maïs je commençai à l’avalé mais ses grains de maïs piquait j'ai donc décidé de les recraché mais ils s'enfoncèrent encore plus. Je partis en flèche mais on me stoppa brutalement. Je me battais de toute mes forces, quand je fus fatigué on me issa hors de l'eau avec l'épuisette et on me posa sur une doux tapis de réception. Et après une séance de photos on me relâcha dans mon habitat naturel.

 

Une odeur irrésistible<o:p></o:p>

Nous sommes un groupe de brèmes, gardons et carassins. Nous vivons dans la Loire. Nous cherchions de la nourriture et près d'un buisson nous entendîmes une dizaines de plouf. Prudemment nous nous rapprochions de cette zone. De ce petit coin se dégageait une odeur irrésistible et nous apercevions plusieurs asticots. Nous nous nourrissions mais au fur et à mesure du temp plusieurs de mes copains disparaissaient. Mais moi une brème de 300 grammes était trop occupé à se nourrir pour m'inquiéter. Puis j'aperçus deux asticots et donc je me précipitai dessue. Mais ses asticots se plantèrent dans mes lèvres. Puis on me tira en surface et on m'épuisa. On me jeta dans une bourriche. Plus le temp passait plus je revu plusieurs de mes copains me rejoindrais. Au bout de quelques heures l'homme retira la bourriche hors de l'eau et nous relâcha.   

Une odeur irrésistible

Nous sommes un groupe de brèmes, gardons et carassins. Nous vivons dans la Loire. Nous cherchions de la nourriture et près d'un buisson nous entendîmes une dizaines de plouf. Prudemment nous nous rapprochions de cette zone. De ce petit coin se dégageait une odeur irrésistible et nous apercevions plusieurs asticots. Nous nous nourrissions mais au fur et à mesure du temp plusieurs de mes copains disparaissaient. Mais moi une brème de 300 grammes était trop occupé à se nourrir pour m'inquiéter. Puis j'aperçus deux asticots et donc je me précipitai dessue. Mais ses asticots se plantèrent dans mes lèvres. Puis on me tira en surface et on m'épuisa. On me jeta dans une bourriche. Plus le temp passait plus je revu plusieurs de mes copains me rejoindrais. Au bout de quelques heures l'homme retira la bourriche hors de l'eau et nous relâcha.